Fri Mar 15 2024
Ada, Finlandaise, passe son échange en Arizona, aux États-Unis.
Cela faisait des années que je rêvais de participer à un échange et il y a trois mois, mon rêve s'est enfin réalisé après une longue attente. J'ai déménagé en Arizona ! Il a fait très chaud (plus de 38°C), mais maintenant il fait plus frais et j'adore le temps qu'il fait ici !
Tout le monde dit que l'année d'échange est une montagne russe et c'est tout à fait vrai... Au cours des trois derniers mois, j'ai vécu des choses que je n'aurais jamais imaginées. J'ai rencontré tant de personnes extraordinaires venues du monde entier et j'ai découvert tant de cultures. Même si je vis mon rêve, j'ai mes mauvais jours et c'est tout à fait normal. Mais ce dont je voulais vraiment parler, c'est d'une chose avec laquelle j'ai vraiment lutté pendant les deux premiers mois : le mal du pays.
Je n'avais jamais eu le mal du pays auparavant. J'ai beaucoup voyagé sans mes parents et je me suis toujours adaptée rapidement aux changements. Avant de venir ici, j'étais tellement excitée à l'idée de commencer enfin mon année d'échange que le mal du pays était le cadet de mes soucis. Je n'ai jamais pensé que j'aurais le mal du pays. J'ai commencé à avoir le mal du pays dès le deuxième jour. Vous vous rendez compte ? C'est censé être la "phase de lune de miel" ; vous avez enfin commencé votre année d'échange et tout est parfait. Je ne sais vraiment pas pourquoi j'ai eu le mal du pays dès le deuxième jour. Je n'avais "aucune raison" d'avoir le mal du pays. En fait, les deux premiers mois de mon année d'échange, j'ai eu le mal du pays presque tous les jours. C'était un sentiment étrange. Je voulais rentrer chez moi, mais je ne voulais pas abandonner et quitter l'Amérique.
J'ai décidé de ne PAS abandonner et je partage avec vous quelques-uns de mes meilleurs conseils pour faire face au mal du pays :
Le mal du pays est un sentiment que presque tous les étudiants en échange ressentent à un moment ou à un autre. Je dirais que c'est quelque chose qui fait partie de votre expérience. N'oubliez pas que vous n'êtes pas seul. Chaque fois que vous avez le mal du pays, vous en apprenez plus sur vous-même et vous devenez une personne plus forte !